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Le saviez-vous ? « À la différence de l'Europe où chaque modèle doit être validé, les homologations de véhicules aux États-Unis sont déclaratives. Elles peuvent faire l'objet de contrôles mais dépendent avant tout du respect d'un cahier des charges. »
Il y a peut-être plus écologique que l'enterrement ; plus vert aussi que l'incinération : nos morts pourraient servir à faire du compost ! Les défunts pourraient ainsi être réincarnés en arbres… ou servir à produire de la nourriture comme dans Soleil vert. Une proposition de loi a été présentée dans l'État de Washington afin de rendre une telle perspective légale.
À ses yeux, l'Union européenne n'est qu'une banale organisation internationale. Rien à voir avec un super-État donc ! En conséquence, son représentant à Washington s'est retrouvé relégué dans l'ordre protocolaire derrière les ambassadeurs des différents États. C'est peut-être une humiliation, mais Bruxelles fait le dos rond.
Pour Peter Thiel, par exemple, « les États devraient s'inspirer du système de gouvernance des start-up de la tech qui, selon ses mots, "sont fondamentalement structurées comme des monarchies" ». D'une façon générale, affirme un chercheur, « la néo-réaction est une philosophie pour les programmeurs : elle propose un monde dans lequel l'utilisation de la technologie va servir à réorganiser l'humanité de manière hiérarchique ».
Les Français ayant hérité d'une nationalité américaine plus ou moins par accident en savent quelque chose : Washington tente de faire payer des impôts à ses ressortissants quel que soit l'État où ils résident. Désormais, suite à l'arrivée dans son giron de la princesse Meghan, c'est toute la famille royale britannique qui se retrouve sous la surveillance du fisc américain, visiblement très curieux.
Thierry de Montbiral annone « la mort du dollar comme monnaie de réserve unique dans le monde » : « cela prendra peut-être vingt ou trente ans », prévient-il ; « mais ce sera la conséquence inéluctable de la guerre commerciale tous azimuts, de la mise en péril du multilatéralisme économique, de l'utilisation de plus en plus systématique du dollar comme une arme, par exemple pour soumettre les alliés des États-Unis à une politique qu'ils désapprouvent sur l'Iran ».
« Les défenseurs des libertés font valoir depuis longtemps que le concept d'association de malfaiteurs terroriste érige en crimes des idées. La France n'a jamais pris ce genre de critiques très au sérieux, de même qu'elle a refusé de prendre en considération les remises en cause de sa loi contre la négation de l'Holocauste. […] Les Français, dont la liberté d'expression n'a jamais été trop protégée, n'ont pas de scrupules à interdire les opinions les plus répugnantes. »
Cela « sous le prétexte d'opérations d'ordre humanitaire », comme le rapporte Le Blog auto. Il serait intéressant d'en connaître les modalités.
Peut-être à survoler des pays sans demander leur autorisation. C'est ce que suggère Laurent Lagneau, après que des avions américains ont vraisemblablement traversé l'Iran et le Pakistan pour effectuer une mission en Afghanistan.
« Le Department of motor vehicles (DMV) de Californie émet des exigences administratives et non techniques. Il faut fournir une preuve d'assurance d'une valeur d'au moins 5 millions de dollars, s'engager à signaler tout accident dans un délai de dix jours, et fournir un rapport annuel des "désengagements", soit toutes les fois où l'humain a dû intervenir en prenant le contrôle du véhicule en mode autonome. Ce rapport, surveillé de près par les médias et les investisseurs, constitue le seul indice visible de la performance des véhicules. »
Encore un article sur le sujet, saluant « le succès parfait d'une communication très intelligemment ciblée ». Colin Kaerpernick fait des miracles ! Cette campagne sera vraisemblablement érigée en cas d'école.
Commentaire de Laurent Lagneau : « Ce serait un tournant majeur étant donné que l'administration américaine a toujours refusé, jusqu'à présent, d'exporter le F-22, et donc de partager les technologies que ce type d'appareil utilise. »
Un commentateur interrogé par la BBC évoque « "l'ironie" des critiques de M. Bolton, moquant une CPI inefficace tout en la présentant comme une "terrible menace pour la souveraineté américaine" ».
Le Rafale, ou quoi que ce soit d'autre soumis à la réglementation Itar. Si notre BITD relève le défi, les États-Unis finiront peut-être par regretter de nous avoir mis des bâtons dans les roues.
En cause : les taxes imposées au papier en provenance du Canada. Dès lors que l'État prétend se substituer au marché, l'arbitrage s'avère toujours bien délicat : pourquoi privilégier telle activité aux dépens d'une autre ?
Un jeune Française s'est retrouvée prisonnière des autorités américaines deux semaines durant, après avoir franchi une frontière par mégarde alors qu'elle séjournait chez sa mère au Canada.
Le président américain aurait posé cette question à son homologue français : « Pourquoi ne quittez-vous pas l'Union européenne ? » Le cas échéant, a-t-il prétendu, Washington proposerait à Paris un accord commercial plus avantageux.
PSA a beau prétendre le contraire, le marché iranien était loin d'être négligeable pour lui. Ce renoncement apparaît d'autant plus remarquable qu'à l'inverse, il était inexistant aux États-Unis, sinon via des services.
Peut-être y a-t-il d'autres exemples : « Lukoil, le deuxième pétrolier russe, a déclaré le mardi 29 mai qu'il renonçait à tout projet en Iran en raison de la menace de sanctions américaines. »
Les États-Unis sont suspectés de traiter plus sévèrement les entreprises étrangères. Rien de nouveau sous le soleil… Mais certains précédents sont intéressants à rappeler.
Quelques États américains vont expérimenter l'usage de plaques utilisant de l'encre électronique. Des plaques vraisemblablement connectées donc. Et susceptibles d'attirer l'attention des policiers…
En France ou aux États-Unis, on n'envisage pas les choses de la même façon : « Steve Huffman a décidé pour son site web de suivre à la lettre de premier amendement de la constitution américaine qui protège la liberté d'expression. »
Selon Donald Trump, les Européens « rendent pratiquement impossible pour nous de faire des affaires avec eux et pourtant envoient, eux, leurs voitures et tout le reste aux États-Unis ».
En cause : la présence d'un composant américain intégré par MBDA dans la fabrication des missiles Scalp, censés équiper les avions français convoités par Le Caire.
Lu dans Les Échos : « Cette année, les constructeurs étrangers fabriqueront […] davantage de véhicules aux États-Unis que les "Big Three" de Detroit - General Motors, Fiat-Chrysler, et Ford. »
Lu dans La Tribune, à propos de la réforme fiscale impulsée par Donald Trump : « C'est l'Europe qui a allumé le feu, en se livrant à une concurrence fiscale sans merci depuis quinze ans. Et ce sont les États-Unis qui jouent en défense. »
Cela « montre surtout que la concurrence fiscale fait rage et que tous les pays sont confrontés aux mêmes problématiques : attirer le capital plutôt que le taxer, et alléger pour ce faire l'impôt des bases mobiles ».
Devinez quelle forme un pilote de l'US Navy a tracée dans le ciel ! « Tout le monde était sous le choc », rapporte un témoin. Il n'en faut pas beaucoup pour traumatiser l'Amérique puritaine… À Paris, place Vendôme, on a fait pire.
Le métro londonien avait ouvert la voie. Celui de New York lui emboîte le pas. Les expressions « faisant mention du genre » sont désormais bannies des annonces qui y sont prononcées.
Du moins, c'est ce que suggère Marie-Cécile Naves sur le site de l'Iris : « la masculinité toxique est un enjeu de politique publique », explique-t-elle notamment.
L'hydrogène semble séduire l'US Army : « Les militaires envisagent même la possibilité de recueillir la vapeur d'eau produite par la pile à combustible, afin de ravitailler les troupes. » Vraiment ?
Léopold Eyharts, ancien spationaute : « La raison n'est sans doute pas économique mais plutôt politique. C'est un moyen pour les États-Unis de subventionner l'industrie du spatial à moindre coût. »
La formation des policiers locaux aurait fait l'objet de « l'improvisation la plus totale ». Au point qu'un officier américain affecté à cette mission s'y serait préparé en regardant une série télévisée. Par exemple.
Ce monstre dépasse allègrement les trois tonnes : bonjour la frugalité… Le greenwashing atteint les sommets du ridicule ! Cela étant, la perspective d'une mise à jour des voitures en circulation retient à nouveau notre attention.
Les pirates n'en n'ont pas le monopole. Certains bâtiments de la Marine nationale l'ont même déjà arboré ! Tout comme ce sous-marin américain, spécialisé dans l'interception des communications transitant par des câbles sous-marins.
Une voiture américaine fut jadis baptisée du nom de Versailles. Mais il n'est pas certain que cela soit à l'honneur de la ville de Roi-Soleil, car cette Lincoln ne présentait pas des prestations à la hauteur de ses ambitions.
Ce croiseur avait été torpillé par un sous-marin japonais le 30 juillet 1945, alors qu'il venait de livrer des composants essentiels à l'assemblage des bombes nucléaires qui dévastèrent le mois suivant Hiroshima puis Nagasaki.
« Pour nous prémunir contre les effets extraterritoriaux de la législation américaine », annonce le Quai d'Orsay, « il nous faudra travailler à la fois à l'adaptation de nos dispositifs nationaux et à l'actualisation des dispositifs europé
À lire avant de tourner en dérision le président Macron : « L'ouvrage, très abordable, est truffé de références et d'anecdotes passionnantes. »
Lu sur Royal Artillerie : « Sur les sujets de politique internationale l'administration Obama publiait jadis la traduction française du discours officiel dans la foulée (autre temps, autres mœurs). »
Royal Artillerie : « Le Commander in Chief se couche comme un roseau sous le vent de la realpolitik à mesure qu'il avance dans sa tournée promotionnelle d'une diplomatie en anglais facile. »
Cet article est rédigé sur un ton malveillant. Mais il souligne que le nouvel occupant de la Maison-Blanche ne renie pas tous ses engagements de campagne. Cela à la faveur d'une sorte d'artifice juridique.
Préserver la résilience d'une économie nationale en dépit des surcoûts – quitte à pénaliser bien d'autres secteurs ? Les interrogations pesant sur l'acier américain mettent en exergue les problématiques inhérentes au protectionnisme.
Le nouveau locataire de la Maison-Blanche aurait sollicité à plusieurs reprises l'ouverture de négociations commerciales bilatérales avec l'Allemagne. Comme si l'UE n'existait pas. Étonnant – pour ne pas dire autre chose !
Changement de locataire à la Maison-Blanche : un républicain succède à un démocrate. Dans la foulée, l'adhésion aux thèses conspirationnistes passerait elle aussi d'un parti à l'autre !
Telos annonce « une révolution américaine dans l'impôt sur les sociétés ». Le profane risque de s'y perdre. Mais la question semble d'importance.
« L’entretien d’un capital de confiance, [...] l’idée d’une continuité dans les relations avec autrui, sans parler du droit, [...] ne semblent pas avoir leur place dans cette conception des relations internationales. »
La lecture de cette biographie suffirait-elle à dissiper les fantasmes conspirationnistes ? Ce n'est pas certain, mais au moins aurons-nous signalé sa parution. Politique étrangère en propose une critique assez élogieuse.
Uber et Lyft ont déserté la ville d'Austin (Texas), jugeant inacceptables les conditions qui leur étaient imposées par la municipalité, cela à la faveur d'un référendum local.
Passionnant, cet entretien avec Thomas Snégaroff ! Anakin serait « l'allégorie de la nation américaine », explique-t-il aux Inrocks. Quant à George Lucas, il a porté plainte deux fois contre des propagandistes au service de Ronald Reagan...